Michael était un être d'une grande sensibilité.
En écrivant ces poèmes, j'ai pensé très fort à lui.
Gros bisous à tous.
Frag.
HAITI
Le jour se lève sur Haïti ;
Depuis le tremblement de terre, on la surnomme « l’île meurtrie ».
Pourquoi le mauvais « sort » s’acharne t-il sur ces gens déjà « démunis » ;
Pourquoi leur infliger encore une telle tragédie ?
Voir ces gens supplier l’aide des pays du monde ;
Me fait, en ce qui me concerne, l’effet d’une bombe.
Se rendre sur place, pour se sentir utile, nous y avons tous pensé ;
Mais comme disent les ONG, cela ne sert à rien, il faut des gens expérimentés.
Un don, c’est tout ce que j’ai pu faire pour les aider ;
C’est une goutte d’eau dans l’océan, lorsque l’on voit une telle « atrocité ».
Si ce tremblement de terre ne s’était pas produit ;
Est-ce que tous les yeux du monde, sur ces gens, se seraient posés ainsi ?
C’est tout à fait normal d’aider les ressortissants, de les rapatrier dans leur pays ;
Mais la population locale, ELLE, n’a t-elle pas droit à une seconde vie.
Une telle impuissance et une immense peine, voilà mes sentiments ;
Mais la colère et l’incompréhension prennent quelque fois le devant.
Pour le peuple haïtien, je veux croire à un avenir meilleur et « ensoleillé » ;
Mais dans leur cœur, trop d’injustice, trop de désespoir, c’est tout ce que l’on pourra y trouver.
Nos petits soucis de la vie quotidienne, nos petits tracas ;
Sont infiniment minuscules par rapport à ce que vivent les gens là-bas.
Répartir les richesses pour aider les plus démunis ;
Ce n’est pas l’objectif premier pour tous les riches pays.
Nous, qui vivons loin de tout cela, allons-nous un jour réaliser la « chance » que nous avons ;
De ne pas être né sur un sol où seules règnent l’amertume et la désillusion.
Frag.
En écrivant ces poèmes, j'ai pensé très fort à lui.
Gros bisous à tous.
Frag.
HAITI
Le jour se lève sur Haïti ;
Depuis le tremblement de terre, on la surnomme « l’île meurtrie ».
Pourquoi le mauvais « sort » s’acharne t-il sur ces gens déjà « démunis » ;
Pourquoi leur infliger encore une telle tragédie ?
Voir ces gens supplier l’aide des pays du monde ;
Me fait, en ce qui me concerne, l’effet d’une bombe.
Se rendre sur place, pour se sentir utile, nous y avons tous pensé ;
Mais comme disent les ONG, cela ne sert à rien, il faut des gens expérimentés.
Un don, c’est tout ce que j’ai pu faire pour les aider ;
C’est une goutte d’eau dans l’océan, lorsque l’on voit une telle « atrocité ».
Si ce tremblement de terre ne s’était pas produit ;
Est-ce que tous les yeux du monde, sur ces gens, se seraient posés ainsi ?
C’est tout à fait normal d’aider les ressortissants, de les rapatrier dans leur pays ;
Mais la population locale, ELLE, n’a t-elle pas droit à une seconde vie.
Une telle impuissance et une immense peine, voilà mes sentiments ;
Mais la colère et l’incompréhension prennent quelque fois le devant.
Pour le peuple haïtien, je veux croire à un avenir meilleur et « ensoleillé » ;
Mais dans leur cœur, trop d’injustice, trop de désespoir, c’est tout ce que l’on pourra y trouver.
Nos petits soucis de la vie quotidienne, nos petits tracas ;
Sont infiniment minuscules par rapport à ce que vivent les gens là-bas.
Répartir les richesses pour aider les plus démunis ;
Ce n’est pas l’objectif premier pour tous les riches pays.
Nous, qui vivons loin de tout cela, allons-nous un jour réaliser la « chance » que nous avons ;
De ne pas être né sur un sol où seules règnent l’amertume et la désillusion.
Frag.
Dernière édition par FRAGADOSHA le Dim 31 Jan - 18:15, édité 1 fois